Par Mireil.29
le tableau du samedi avec Fardoise et Lilousoleil.
Voici le petit mot de Fardoise.
Nous venons de souhaiter l’épiphanie autour de la galette, et ce n’est pas encore terminé, tout le mois de janvier peut y être consacré. Au delà des polémiques sur la signification de cette tradition, je voulais simplement proposer de rechercher des représentations de rois et de reines au cours des siècles et partout dans le monde, histoire de trouver des tenues tout autant chatoyantes et luxueuses, qu’elles peuvent parfois friser le ridicule. Oui, oui, on a le droit de se moquer un peu.
Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture, et de partager, nous disons pourquoi il nous touche, et quelques mots sur l'artiste.
Le roi c'est moi " Épiphanie."
né vers 1610à Haarlem, décédé en 1668 à Haarlem.
Peintre de genre hollandais, actif à partir de 1629, qui épousa Judith Leyster en 1636. Il a passé son temps à Haarlem et à Amsterdam et ses œuvres antérieures, comme celle de sa femme, sont fortement influencées par Frans Hals.
La douzième nuit
Dans un salon du XVIIème siècle, une joyeuse compagnie s'est rassemblée pour profiter de ce qu'on appelle la "Fête des haricots de la nuit des Rois"
La fête de l'Ephinanie, le 6 janvier.
Conformément à une coutume ancienne et répandue qui survit encore dans de nombreux endroits, une fève était cuite dans un gâteau et la personne qui la trouvait dans sa portion recevait une couronne de papier et était fait roi pour la nuit avec le pouvoir de nommer des compagnons à divers postes, comme celui de bouffon de cour.
Et chaque fois que le roi levait son verre, les autres faisaient de même en criant
"Le roi boit"
La voluptueuse jeune femme se retourne en riant , comme si elle nous invitait à nous joindre aux festivités.
Bon week-end à tous le mien sera très chargé des que je pourrais je passerais vous voir ......
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